Don d'organes
Le don d’organes sauve des vies
L'Hôpital du Jura est un hôpital de détection et d’identification de donneurs potentiels, plus particulièrement dans les services des Urgences et des Soins intensifs. Il dispose de la technologie EID qui permet de lire la carte de donneur sur smartphone et ceci sur les sites de Delémont et Porrentruy.
Si vous êtes en mort cérébrale et que vous avez manifesté votre intention de donner vos organes en ayant rempli une carte de donneur, via l’application Medical ID ou en ayant parlé à vos proches, vous serez transféré dans un hôpital universitaire pour le prélèvement.
Même si une carte de donneur d’organes est établie, nous privilégions toujours le dialogue avec les proches et consultons dans tous les cas la famille.
Les frais de transfert du donneur potentiel, le prélèvement et le rapatriement du corps sont pris en charge par Swisstransplant.
Besoin de renseignements ?
Coordinatrice locale H-JU: dondorganes@h-ju.ch
Un don d’organes n’est possible que si la mort du donneur est clairement établie. La personne est considérée comme décédée lorsque la mort cérébrale est établie (perte complète et irréversible de toutes les fonctions du cerveau).
En Suisse la loi parle de consentement au sens large. Le prérequis pour autoriser un prélèvement d’organes est le consentement de la personne décédée. Si elle n’a pas exprimée sa volonté les proches sont interrogés sur sa volonté présumée
Cœur, poumon, foie, reins, pancréas, îlots de Langerhans et intestins grêle, ainsi que les tissus suivants : cornée osselets, valves cardiaques, vaisseaux, peau, moelle et sang.
Ce sont les reins suivis par le foie, les poumons et le cœur.
Actuellement aucun don n’est possible dans ces conditions. Le prélèvement nécessite des mesures médicales préliminaires qui ne peuvent être effectuées qu’à l’hôpital.
Le prélèvement d’organes est rarement envisageable : moins de 1% des personnes qui décèdent à l’hôpital peuvent être prélevées. De surcroit, plus d’un prélèvement sur trois est refusé par la famille qui ne connaît pas la volonté du défunt.
Le don d’organes sauve des vies
L'Hôpital du Jura est un hôpital de détection et d’identification de donneurs potentiels, plus particulièrement dans les services des Urgences et des Soins intensifs. Il dispose de la technologie EID qui permet de lire la carte de donneur sur smartphone et ceci sur les sites de Delémont et Porrentruy.
Si vous êtes en mort cérébrale et que vous avez manifesté votre intention de donner vos organes en ayant rempli une carte de donneur, via l’application Medical ID ou en ayant parlé à vos proches, vous serez transféré dans un hôpital universitaire pour le prélèvement.
Même si une carte de donneur d’organes est établie, nous privilégions toujours le dialogue avec les proches et consultons dans tous les cas la famille.
Les frais de transfert du donneur potentiel, le prélèvement et le rapatriement du corps sont pris en charge par Swisstransplant.
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Coordinatrice locale H-JU: dondorganes@h-ju.ch
Un don d’organes n’est possible que si la mort du donneur est clairement établie. La personne est considérée comme décédée lorsque la mort cérébrale est établie (perte complète et irréversible de toutes les fonctions du cerveau).
En Suisse la loi parle de consentement au sens large. Le prérequis pour autoriser un prélèvement d’organes est le consentement de la personne décédée. Si elle n’a pas exprimée sa volonté les proches sont interrogés sur sa volonté présumée
Cœur, poumon, foie, reins, pancréas, îlots de Langerhans et intestins grêle, ainsi que les tissus suivants : cornée osselets, valves cardiaques, vaisseaux, peau, moelle et sang.
Ce sont les reins suivis par le foie, les poumons et le cœur.
Actuellement aucun don n’est possible dans ces conditions. Le prélèvement nécessite des mesures médicales préliminaires qui ne peuvent être effectuées qu’à l’hôpital.
Le prélèvement d’organes est rarement envisageable : moins de 1% des personnes qui décèdent à l’hôpital peuvent être prélevées. De surcroit, plus d’un prélèvement sur trois est refusé par la famille qui ne connaît pas la volonté du défunt.