Directives anticipées
Qu'est-ce qui se passera si je suis victime d'un accident, d'une attaque cérébrale ou d'un infarctus et qu'ensuite je perds ma capacité de discernement ? Quelles sont les mesures que je souhaiterais alors pour prolonger ma vie ou soulager mes douleurs ? Est-ce que j'autorise le don d'organes, l'alimentation artificielle et quelle est ma position par rapport à la réanimation ?
Les directives anticipées permettent de choisir à l'avance les mesures médicales que l'on approuve et d'exprimer celle que l'on refuse. Ces directives permettent aussi aux médecins de prendre plus facilement des décisions difficiles tout en évitant aux proches de devoir se poser la question de savoir ce qu’aurait voulu la personne accidentée.
Personne n’est obligé de rédiger des directives anticipées. La démarche est individuelle et gratuite, vous pouvez l’entreprendre à tout âge et changer d’avis à tout moment.
La FMH et l’ASSM mettent à disposition un formulaire ainsi qu’une carte à placer dans son portemonnaie. Vous trouvez ces documents et toutes les informations SUR LE SITE DE LA FMH. Seules les directives datées et signées à la main sont contraignantes pour l’équipe médicale.
Vous pouvez aussi utiliser d'autres modèles ou écrire de manière libre, sans oublier de signer et de dater votre document.
Que se passe-t-il en l'absence de directives anticipées ?
En l’absence de directives, ce sont les personnes désignées par la loi qui assurent la fonction de représentation en matière de questions médicales. Néanmoins, seule une personne qui «fournit une assistance personnelle régulière» a le droit de vous représenter. L’ordre suivant s’applique (voir art. 378 CC):
- Personne désignée dans un mandat pour cause d’inaptitude
- Curateur représentant la personne concernée pour les questions médicales
- Epoux/se ou partenaire enregistré-e
- Personne qui fait ménage commun avec la personne incapable de discernement
- Descendants
- Parents
- Frères et sœurs
Qu'est-ce qui se passera si je suis victime d'un accident, d'une attaque cérébrale ou d'un infarctus et qu'ensuite je perds ma capacité de discernement ? Quelles sont les mesures que je souhaiterais alors pour prolonger ma vie ou soulager mes douleurs ? Est-ce que j'autorise le don d'organes, l'alimentation artificielle et quelle est ma position par rapport à la réanimation ?
Les directives anticipées permettent de choisir à l'avance les mesures médicales que l'on approuve et d'exprimer celle que l'on refuse. Ces directives permettent aussi aux médecins de prendre plus facilement des décisions difficiles tout en évitant aux proches de devoir se poser la question de savoir ce qu’aurait voulu la personne accidentée.
Personne n’est obligé de rédiger des directives anticipées. La démarche est individuelle et gratuite, vous pouvez l’entreprendre à tout âge et changer d’avis à tout moment.
La FMH et l’ASSM mettent à disposition un formulaire ainsi qu’une carte à placer dans son portemonnaie. Vous trouvez ces documents et toutes les informations SUR LE SITE DE LA FMH. Seules les directives datées et signées à la main sont contraignantes pour l’équipe médicale.
Vous pouvez aussi utiliser d'autres modèles ou écrire de manière libre, sans oublier de signer et de dater votre document.
Que se passe-t-il en l'absence de directives anticipées ?
En l’absence de directives, ce sont les personnes désignées par la loi qui assurent la fonction de représentation en matière de questions médicales. Néanmoins, seule une personne qui «fournit une assistance personnelle régulière» a le droit de vous représenter. L’ordre suivant s’applique (voir art. 378 CC):
- Personne désignée dans un mandat pour cause d’inaptitude
- Curateur représentant la personne concernée pour les questions médicales
- Epoux/se ou partenaire enregistré-e
- Personne qui fait ménage commun avec la personne incapable de discernement
- Descendants
- Parents
- Frères et sœurs